Page 5 - lettre_MSO_014
P. 5
e
2 partie
Dans le numéro 13,
de notre Lettre du Musée du Sous-officier,
vous avez pu découvrir la biographie de cet artiste.
Nous vous proposons en complément de l'inauguration de
cette exposition de découvrir deux de ses œuvres présentées
dans cette rétrospective.
Mardi 11 novembre, à l'issue des commémorations de
l’Armistice, les deux commissaires de l’exposition, le
lieutenant-colonel Souprayen et M. Calvé Cantinotti ont
déclaré ouverte l’exposition « Lucien Ott, un artiste dans
la Grande Guerre », devant les descendants du peintre,
en présence du préfet des Deux-Sèvres, M. Jérôme
Gutton, de M. Léopold Moreau, maire de Saint-Maixent-
l’École, du général Patrice Paulet, commandant de
l’ENSOA et délégué militaire départemental des Deux-
Sèvres. Étaient aussi présents les mécènes de cette
exposition, aux côtés du général de Guigné, délégué au
patrimoine de l’armée de Terre, le bureau de notre
association « Les Amis du Musée – Le Chevron », le
Souvenir Français, l’Union Nationale des Combattants,
la société PriviDéf ainsi que de nombreux autres invités. Après les discours du Conservateur du Musée du Sous-Officier et de
Le Conservateur du musée a remercié et souligné la M. Calvé-Cantinotti, l’inauguration de l’exposition en présence du préfet
qualité et l’intérêt que représente cette exposition pour des Deux-Sèvres, M. Jérôme Gutton, du général Patrice Paulet
et de M. Léopold Moreau, maire de Saint-Maixent-l’École,
la commémoration du Centenaire. En partie financée les invités ont découvert sereinement l’exposition.
par le comité départemental du Centenaire des Deux-
Sèvres, elle fait partie des onze actions labellisées
Centenaire.
Monsieur Calvé-Cantinotti, historien de l’art, musé-
ologue, collectionneur de dessins et spécialiste de
Lucien Ott a fait découvrir au travers des pièces qu’il
prête pour cette exposition, la qualité et la beauté des
œuvres de l’artiste.
L’exposition se concentre particulièrement sur une
période de la carrière de notre artiste avec une riche
galerie de portraits de ses camarades de régiment
durant la Première Guerre mondiale. C'est en effet
au cours des années 1916, 17 et 18, que Lucien Ott
croqua, avec une intensité rare, des soldats sur le
front franco-belge.