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Maintenant nommé sergent, Rospars est cité deux fois encore pour d'autres faits
d'armes de semblable valeur.

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Pour révélatrices qu'elles soient d'un caractère hors du commun, les vertus dont
Rospars fait preuve au combat sont complétées par d'autres qualités qui donnent toute sa
dimension à sa personnalité de Sous-Officier d'élite. Modèle d'esprit militaire, exécutant
toujours prêt, aimé, de ses hommes, il a une tenue et une conduite irréprochables. Ses
chefs, vous l'avez vu, n'émettent aucune restriction à son égard.

Retrouvons-le en Algérie.

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Sergent-chef, il commande une Section. Plus le cas de combat est délicat et
périlleux, mieux il s'y distingue.

A quatre reprises, sa détermination et son courage forcent l'admiration. C'est qu'à
chaque fois, face à des rebelles retranchés, et bien armés, il conduit un assaut victorieux
jusqu'au corps à corps.

Le 24 Avril 1959, sa Section est clouée au sol. Cette fois, l'affaire est extrêmement
sérieuse. Quatre Compagnies du Régiment sont engagées. En face, il y a au moins trois
mitrailleuses. Et c'est le dernier assaut. Rospars enlève sa Section. Il est victorieux. En fin
d'action, il est tué, à la tête de ses hommes.

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Aujourd'hui, devant ses anciens compagnons de combat, affirmez-vous dignes de
la mémoire du Sergent-chef Yves Rospars dont votre Promotion aura l'honneur de porter
le nom.