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CARRIERE DU MARECHAL-DES- LOGIS-CHEF GUY SEQUER


                                           PARRAIN DE LA 82   ème  PROMOTION



                          Né le 11 juillet 1925 à METZ, il n’a pas encore 20 ans lorsqu’il s’engage au titre du 6°
               Régiment de Chasseurs d’Afrique le 19 janvier 1948.

                                                                                                       ème
                          Il part aussitôt pour l’Allemagne où il reçoit son instruction de base. Il sert ensuite au 5
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               Dragons et en août 1948, il embarque pour l’INDOCHINE afin de rejoindre le 2   Régiment de Spahis
               Marocains.

                          Sur  cette terre  lointaine,  sa  brillante  conduite  lui  vaut  d’être  cité  à  deux  reprises.  Il  est
               rapatrié sanitaire après deux années de séjour, blessé par éclats de mines à XOM-HO-AU.

                                           ème
                          Il sert ensuite au 4   Régiment de Spahis Marocains et embarque pour ORAN le 2 juillet
               1951. En ALGERIE, il gagne son galon de Maréchal-des-Logis en mai 1952.

                                                    ème
                          Il repart pour SAIGON au 6   Régiment de Spahis de Marocains à pied. Son allant, sa
               valeur militaire lui valent au cours de ce deuxième séjour en INDOCHINE deux nouvelles citations.

                                                               er                             ème
                          Nommé  Maréchal-des-Logis-Chef  le  1   juillet  1954,  il  rejoint  le  152    R.I.M.  à
               LUNEVILLE avec lequel il part pour l’ALGERIE.

                          Ici,  son  caractère  entier,  sa  grande  personnalité,  ses  qualités  de  chef  et  d’entraineur
               d’hommes vont de nouveau s’étaler au grand jour, et aux cours de différentes opérations, il est cité trois
               fois.

                                   er
                          Mais  le  1   février  1958,  lors  d’une  patrouille  de  renseignements  à  cheval,  il est  atteint
               d’une balle dans le dos à la hauteur du cœur. Mortellement blessé, il succombe lors de son transfert à
               l’hôpital, il n’avait pas encore trente ans.

                          Déjà titulaire de la Médaille Militaire pour services exceptionnels en EXTREME-ORIENT
               et de 8 citations, le Légion d’Honneur et la Croix de la Valeur Militaire avec palme lui sont attribués à
               titre posthume.
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