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Adjudant-chef Denis Beylier


                 Parrain de la 311 e  promotion de l’École nationale des sous-officiers d’active  3 e  Bataillon  du 4 avril au 22 juillet 2016  L'adjudant-chef Denis Beylier était titulaire des décorations suivantes :  Officier de la Légion d’honneur   Médaille militaire Officier de l’Ordre national du Mérite  Croix de guerre des Théâtres d’opérations Extérieures, une étoile d’argent et une de bronze Croix de la Valeur militaire, trois étoiles de bronze  Médaille d’Outre








































                                                                                  Mais nos enfants, dans un élan sublime,  Se sont dressés, et bientôt l'aigle noir,  La rage au cœur impuissant en son crime,   Vit disparaître son suprême espoir,  Les vils corbeaux devant l'âme française Tombent sanglants, c'est le dernier combat. Pendant que nous chantons la Marseillaise,  Les assassins fuient devant les soldats.  Et Verdun la victorieuse,   Pousse un cri que portent là-ha








                  Parrains de la 310 e  promotion  2 e  Bataillon            Verdun   Les ennemis s'avancent avec rage,   Énorme flot d'un vivant océan,   Ivres de bruit, de carnage et de sang,  Ils vont passer... quand relevant la tête,  Un officier dans un suprême effort,  Quoique mourant, crie : À la baïonnette,  Hardi les gars, debout, debout les morts !  Et Verdun la victorieuse,   Pousse un cri que portent là-haut  Les échos des bords de la Meuse,   Halte là ! On ne

                                                                             !




               1916 Sous-officiers de Verdun  École nationale des sous-officiers d’active   du 1 er  mars au 28 octobre 2016  Le sous-officier de Verdun avec ses Poilus dans la tranchée avant l’assaut  ! On ne passe pas   Chant patriotique français écrit en 1916 par Eugène Joullot et Jack Cazol sur une musique de René Mercier.  Semant la mort partout sur son passage,











                                                                                  Un aigle noir a plané sur la ville,   Il a juré d'être victorieux.  De tous côtés, les corbeaux se faufilent Dans les sillons, dans les chemins creux,  Mais tout à coup, le coq gaulois claironne :   Cocorico, debout petits soldats,  Le soleil luit partout, le canon tonne, Jeunes héros, voici le grand combat.  Et Verdun la victorieuse,   Pousse un cri que portent là-haut  Les échos des bords
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