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               d’être cité en exemple auprès des jeunes sous-officiers.














                                             Thaï Binh, bataille du Bay et Hoa Binh à trois reprises. Le 31 décembre, il est nommé adjudant.



                    Chevalier de la Légion d’Honneur, Médaillé Militaire, titulaire de la Croix de Guerre 39-45, de la Croix
                          parachutiste de choc à Calvi.  Après un an en Algérie, L’adjudant-chef CASTA termine sa carrière par un séjour
                            d’Ivoire où il reçoit la Légion d’Honneur. De 1959 à 1961, il retrouve son île natale et sert au 1 er  bataillon
                         à Tahiti en 1963, où il décide de rester pour jouir de sa retraite. Il décède le 25 février 2007 et sera inhumé sur
                              Le 10 mai 1953, il quitte l’Indochine. Nommé adjudant-chef en 1955, il effectue un séjour en Côte
                  de Guerre des Théâtres d’Opérations Extérieures, six fois cité, L’adjudant-chef CASTA est un véritable héros
                qui, par ses exceptionnelles qualités de meneur d’hommes et un dévouement sans faille pour son pays, mérite
                                                                                                      dans  le  Puy-de-Dôme.  Dominique  CASTA  y  passe  toute  sa  jeunesse  en  compagnie  de  son  frère  aîné,
                                         Affecté en avril 1952 au groupement de commandos mixtes aéroportés, il rejoint la base de l’île de
          Création impression ENSOA-DirCom : 39-2010  inspirent le respect ».  ordres coiffé d’une authentique casquette de chef de gare venue tout droit de France et dont les trois étoiles   pour pacifier une région troublée et redonner confiance aux populations.  de guerre : « l’amiral de Cu Lao Re c’est l’adjudant CASTA, il commande la flotte GCMA de l’île et donne ses   l’ordre de l’armée. Il entre alors dans la légende et est immortalisé par Marc FLAMENT dans la revue hommes   Cu Lao Ré sur la côte
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              les jeunes générations.


                       Médaille Militaire à titre posthume.
















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                                                                                        à  Marseille  pour  rejoindre  le  Bataillon  Autonome  du  Soudan-Est  en  mai  1958,  lequel  prendra


                   Passionné par son métier et l’aventure Outre-Mer, l’adjudant ORSINI a servi son pays avec
                  dévouement et avec coeur. Meneur d’hommes généreux, sa fidélité et son engagement en toutes
                circonstances sont exemplaires. Sous-officier de grande valeur, il est une admirable référence pour

                           Soudain, il s’effondre, grièvement blessé. Evacué par ses hommes, l’adjudant Orsini décède des
                         suites de ses blessures à l’issue des combats. Il est cité à l’ordre de l’armée et se voit conférer la
          Création impression ENSOA-DirCom : 29-2010  adversaire six fois plus nombreux, il donne un exemple d’abnégation et d’héroïsme au combat.   nombreuses armes. Le 15 mars 1970 à la tête de sa section, au cours d’un accrochage avec un   Au cours de sorties incessantes, il inflige de lourdes pertes aux hors-la-loi et récupère de   nomades d’Oum Hadjer et se dépense sans compter, insufflant sa foi et son idéal à ses subordonnés,   Lamy au Tchad en mai 1969. Dès son arrivée, il prend le commandement
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