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village natal de Vaas dans la Sarthe.

vertus militaires et mérite ainsi d’être cité en exemple auprès des jeunes sous-officiers.

Mao Khé. Il reçoit deux citations à l’ordre de l’armée, la Médaille militaire lui est conférée des mains du
cités, quatre blessures de guerre, l’adjudant-chef Maurice Fleuriot est un combattant au courage hors
Officier de la Légion d’honneur, médaillé militaire, officier de l’ordre nationale du Mérite, sept fois

Préparatoire de la Réunion comme cadre à l’encadrement. Il revient en métropole en 1979 pour une

pair, un chef de guerre d’une exceptionnelle ardeur et un homme de cœur qui véhicule les plus nobles
Création ENSOA-Com : 73-2013 l’institution militaire et profite de sa famille. Le 22 novembre 2006, il s’éteint parmi les siens, dans son 37 années au service de sa patrie, il fait valoir ses droits à la retraite. Maurice Fleuriot reste très lié à l’opération Barracuda à Banguy en 1980. Le 29 avril 1981, après une riche et exceptionnelle carrière de où il partira en compagnie tournante en Nouvelle-Calédonie pour quatre mois puis sera engagé dans affectation au 2 e RIMa. Toujou

de la division.
1 argent et 3 bronze).

service de la France et de ses concitoyens.
par les rebelles, qu’il déroute les forçant au repli.
Il est un exemple pour les jeunes générations.
Jdans la résistance malgré son jeune âge.
musée historique Lucien Roy auquel il donne une âme.

Il rejoint la France le 7 août 1962 et quitte le service actif six mois plus tard.
forces d’occupation en Allemagne au Régiment Colonial de Chasseurs de Chars.
frères d’arme, ses compagnons de misère et accompagné par plus de 70 drapeaux.

Jean Cretin n’a eu cesse tout au long de sa vie de vivre dans l’honneur et l’abnégation au

De retour sur son sol natal en juillet 1950, il est affecté au Régiment de Marche du Tchad.
Création ENSOA-Com : 72-2013 Jean Cretin s’éteint chez lui, à Beure, le 3 juillet 2010, parmi ses concitoyens, entouré par ses durant 24 ans, respectueux du devoir de mémoire. Il est notamment à l’origine de la création du toyens, en devenant maire du village de Beure. Il s’investit dans cette fonction avec une rare ténacité Il s’engage alors avec le même enthousiasme et la même générosité au service de ses conci- Parrainé par son compagnon d’armes, le général Delayen, il sera fait comm